Grâce à l’Appui financier de WPHF et ONU FEMMES, les femmes et filles personnel de l’OSC ARPJ asbl renforce leurs capacités sur les instruments juridiques nationaux et internationaux qui protègent leurs droits.

A l’issue de cette formation, les femmes et filles personnel de l’OSC ARPJ se sont exprimées tour à tour. Madame RUTHA  a exprimé sa joie en ces termes : « Tout d’abord, j’adresse mes sincères félicitations à nos partenaires Women’s Peace & Humanitarian Fund et ONU FEMMES qui ont accepté de financer cette activité de formation sur les instruments juridiques qui protègent nos droits, les violences basées sur le genre et la prévention des exploitations et abus sexuelles (PSEA). Grâce à cette formation, nous venons d’avoir une connaissance sur la résolution 1325 de l’ONU, ses objectifs et ses 4 piliers qui sont : le rôle des femmes dans la prévention des conflits, la participation des femmes à la consolidation de la paix, la protection des droits des femmes et des filles pendant et après les conflits et leurs besoins spécifiques pour la résilience. Les connaissances reçus de cette formation nous permettront d’améliorer notre manière de plaider auprès des parties prenantes afin de promouvoir les droits de la femme et de commencer à surveiller les cas des VBG dans notre communauté. » Et Madame Nadège, ajoute que : « L’objectif de la résolution 1325 est d’accroitre la participation des femmes à la prévention et au règlement des conflits, ainsi qu’à la consolidation de la paix ; c’est autour ça que notre formation de deux jours s’est articulés. En plus, j’ai su que les violences sexuelles ont beaucoup de conséquences négatives sur la vie de la femme et fille, mais aussi je viens de savoir la différence qui existe entre victime et survivante des violences sexuelles. Cette formation me donne la force de ne plus rester indifférente devant une violence des droits de la femme et fille dans la province du Maniema.

Mes sincères remerciements à nos bailleurs de fonds Women’s Peace &Humanitarian Fund et ONU FEMMES pour nous avoir accordées ce projet car, dit-on : apprends-moi à pêcher et je ne vous demanderai plus de poisson. Je profite de cette occasion de faire appel aux organisations qui interviennent pour les droits des femmes de nous venir en aide afin de développer avec nous des programmes en faveur des femmes et filles de la province du Maniema à Salamabila. »